Saluons et soutenons l'engagement de cet agriculteur et sa prise de conscience de la dangerosité de la chimie et son souhait de produire autrement.
Nous resterons vigilants.
Ce 1er mai, alors que nous courrions vers Fournes, un agriculteur n'aura malgré nos gestes pas cessé de pulvériser son nuage de produit chimique. L'odeur est si forte malgré le vent léger, qu'il nous faut prendre un autre chemin et contourner notre route pour échapper à la brume toxique.
La conviction de l'un n'est pas la conversion de tous !
Il faudra encore du temps pour que la chimie recule et les pratiques agricoles d'évoluer vers plus de respect des agriculteurs, de leur santé (ils sont quand même les premiers exposés...), de la nature, des consommateurs...
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