Cette fois-ci, nous aurons, le 11 mars prochain, à 20 H 00, le
plaisir d’accueillir son fils, Nicolas, chef de projet à Leroy-Merlin.
Cette soirée s’inscrit dans la série de
débats sur la recherche de signes d’espérance. Rappelez-vous, nous sommes
partis du constat que l’époque est à l’inquiétude, au découragement, à la peur.
Où allons- nous ?
Il nous semblait important de réagir face
à cette « désespérance », de donner des éléments de réflexion pour
mieux comprendre les mutations majeures que nous connaissons, de considérer
aussi qu’il nous est possible d’agir sur les événements plus qu’on ne le croit.
Nous avons accueilli au cours d’une
première soirée, Pierre Giorgini, recteur de l’Université catholique de Lille,
auteur d’un livre sur « La transition fulgurante » qui nous a parlé
de la révolution sans précédent que nous connaissons au niveau des technologies,
de la nécessité de donner du sens à ces évolutions et de « monter en
conscience ». Puis, lors d’une deuxième soirée, Mgr Ulrich est venu
commenter son livre « L’espérance ne déçoit pas ».
Cette soirée du 11 mars sera l’occasion
de donner la parole à un jeune cadre très engagé dans les mutations actuelles
de notre économie, convaincu que les
entreprises doivent se réinventer et que, face à l’ampleur des défis, désormais
c’est ensemble : entreprises, pouvoirs publics, monde associatif qu’il faut
avancer pour assurer une croissance responsable.
Au sein de Leroy Merlin, Nicolas cordier
n’est pas un chef de mission comme les autres. Après douze ans passés dans le
marketing, en magasin et en centrale d’achats, il a développé au sein du
groupe, un projet visant à prendre en compte les publics en situation de
précarité de logement. Il nous expliquera comment il a concrétisé ce challenge.
Il fait partie de ceux que l’on appelle
les « intrapreneurs » sociaux, des collaborateurs qui mettent
en place des démarches innovantes combinant modèle économique équilibré et fort
impact social, en lien avec l’activité de l’entreprise. Il travaille en
particulier avec Emmaüs Solidarité.
Et ce qui est intéressant, c’est que
Nicolas Cordier n’est pas seul dans ce type de démarches. De nombreux «
pionniers » sont en train de
changer le monde, comme l’a titré un numéro spécial de l’Express paru en
octobre 2014.
Comme l’explique souvent Jacques Attali :
« Il est urgent d’entreprendre autrement »
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