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24 février 2015

Débat en Weppes, le 11 mars, 20h00 à Beaucamps-Ligny

« Débats en Weppes » a déjà eu l’occasion de recevoir Guy Cordier, pédopsychiatre, venu parler de la famille et du rôle des personnes âgées.

Cette fois-ci, nous aurons, le 11 mars prochain, à 20 H 00, le plaisir d’accueillir son fils, Nicolas, chef de projet à Leroy-Merlin.

Cette soirée s’inscrit dans la série de débats sur la recherche de signes d’espérance. Rappelez-vous, nous sommes partis du constat que l’époque est à l’inquiétude, au découragement, à la peur. Où allons- nous ?

Il nous semblait important de réagir face à cette « désespérance », de donner des éléments de réflexion pour mieux comprendre les mutations majeures que nous connaissons, de considérer aussi qu’il nous est possible d’agir sur les événements plus qu’on ne le croit.

Nous avons accueilli au cours d’une première soirée, Pierre Giorgini, recteur de l’Université catholique de Lille, auteur d’un livre sur « La transition fulgurante » qui nous a parlé de la révolution sans précédent que nous connaissons au niveau des technologies, de la nécessité de donner du sens à ces évolutions et de « monter en conscience ». Puis, lors d’une deuxième soirée, Mgr Ulrich est venu commenter son livre «  L’espérance ne déçoit pas ».

Cette soirée du 11 mars sera l’occasion de donner la parole à un jeune cadre très engagé dans les mutations actuelles de notre économie,  convaincu que les entreprises doivent se réinventer et que, face à l’ampleur des défis, désormais c’est ensemble : entreprises, pouvoirs publics, monde associatif qu’il faut avancer pour assurer une croissance responsable.

Au sein de Leroy Merlin, Nicolas cordier n’est pas un chef de mission comme les autres. Après douze ans passés dans le marketing, en magasin et en centrale d’achats, il a développé au sein du groupe, un projet visant à prendre en compte les publics en situation de précarité de logement. Il nous expliquera comment il a concrétisé ce challenge.

Il fait partie de ceux que l’on appelle les «  intrapreneurs » sociaux, des collaborateurs qui mettent en place des démarches innovantes combinant modèle économique équilibré et fort impact social, en lien avec l’activité de l’entreprise. Il travaille en particulier avec Emmaüs Solidarité.

Et ce qui est intéressant, c’est que Nicolas Cordier n’est pas seul dans ce type de démarches. De nombreux «  pionniers »  sont en train de changer le monde, comme l’a titré un numéro spécial de l’Express paru en octobre 2014.

Comme l’explique souvent Jacques Attali : « Il est urgent d’entreprendre autrement »

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